Streetphoto in Paris and elsewhere

Vincent Brière aime photographier Paris (mais pas que…), ses musées, ses habitants en composant des images décalées, tout en contrastes.

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«J’aime les situations fugaces, inattendues ou cocasses que j’essaie de pérenniser. Dans la rue c’est le hasard de la vie qui se joue. Les situations disparaissent si vite.» explique Vincent Brière, trentenaire, photographe amateur et amoureux de l’art.

Ses photos reflètent son goût pour les contrastes, les interactions entre les gens et leur environnement, les ombres, les couleurs ou les reflets. L’architecture lui donne le moyen de jouer sur les impressions, les textures en fonction de la lumière, du climat. « J’essaie de trouver des cadrages originaux. J’aime la géométrie urbaine. » dit ce parisien qui promène aussi son objectif et son regard décalé lors de nombreux voyages. Il publie ses instantanés sur le réseaux social EyeEm.

Mais sa vraie passion est de photographier les gens dans les musées, « la confrontation entre les visiteurs et les œuvres. Il y a parfois des interactions ente la couleur des vêtements, le style d’une coiffure, un bonnet…C’est drôle. » considère Vincent, qui travaille dans le secteur culturel.

Ses références photographiques se situent outre-Rhin : Thomas Struth et son travail dans les musées du monde entier, Eleger Esser « et ses paysages sépia extraordinaires » mais aussi Andreas Gursky. dont il aime « l’aspect spectaculaire, monumental et l’explosion de couleurs. »