The street is their gallery

I support street art propose des contenus partagés par des adeptes de l’art urbain du monde entier mais aussi des interviews d’artistes, des agendas de manifestations. Il est animé par des passionnés de l’art de rue. Rencontre.

C’est une des principales communautés en ligne dédiés à l’art Urbain. I support street art revendique plus de 90 000 followers sur sa page Facebook depuis sa création en 2010. Et succès oblige, c’est désormais un site internet.

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Exemple de photos postées sur le site, qui viennent d’internautes du monde entier

« C’est une plateforme d’échanges de contenus (photos, vidéos). Mais nous en produisons aussi, sous forme d’interviews d’artistes.» explique Stéphane, un des trois piliers du site. Une trentaine d’artistes ont bien voulu répondre aux questions, toutes identiques pour que chacun puisse expliquer son parcours, ses références et son art. Zabou, L7m, Jimmy C, sabek, Blouh, Clet Abraham, Btoy, OakOak, Stoul, Fred le Chevalier, Madame Moustache, Mademoiselle Maurice….se sont déjà pliés à l’exercice. Pour un accès au plus grand nombre, les interviews sont publiés en anglais.
Le Street art est un mouvement international qui s’est imposé par Internet. Aussi les gestionnaires du site reçoivent des photos de graffs, pochoirs, collages, murs peints à la bombe… du monde entier. « Ainsi nous repérons de nouveaux talents. » précise Stéphane.

Chasseur de street art 
Bestof14
Best walls of 2014, their collection of fine murals, stencils, pasteups and instalations from around the world.

Ce quadra, qui travaille dans le marketing, est un passionné bénévole qui ne compte pas ses heures pour alimenter I support SA. La page FB puis le site ont été créé par Philippe qui vit à Athènes et travaille dans l’import export. «  Au début, il prenait des photos, les partageait, puis les gens se sont mis à lui en envoyer. Une communauté est née… » Il cherche alors d’autres « chasseurs de street art» et Stéphane répond présent ainsi qu’Estela basée en Espagne. Ils ne sont jamais vu mais communiquent sans cesse… Travaillant dans un centre d’art contemporain, la jeune femme est leur référent artistique.

En 5 ans d’existence, ils sont devenus un acteur important dans le milieu du street art. Google les a contactés pour le Street Art Project une exposition virtuelle dont le but est de pérenniser sur le net, les œuvres de rue par nature éphémères. La Communauté Européenne aimerait aussi avoir accès à leur fond. En effet, l’Europe mène un projet (à 10 millions d’€) pour dresser un historique de l’art urbain. « Mais avant de répondre positivement, nous devons créer une entité juridique, ce qui est en cours.» précise Stéphane.

Le site est aussi un outil de promotion de festivals, d’expositions à ciel ouvert ou en galeries. Mais comme l’indique la base line « the street is our gallery». La rue, rien que la rue…

Qui se connecte à I Support Street art ?

55% d’hommes / 45% de femmes

Tranche d’âge majoritaire : 18 à 34 ans

Top 5 des pays : USA, France, Italie, Mexique, Allemagne

Top 5 des villes : Mexico city, Athènes, Paris, Londres et Téhéran.

A noter : Des milliers de connections viennent d’Iran un pays avec un goût prononcé pour le Street Art, avec seulement 21% de la population avec un accès à Internet. (chiffres 2011)

English version

I Support Street Art offers content shared by followers of urban art from around the world as well as artist interviews, diaries events. It is run by enthusiasts of street art. Meeting.

This is one of the major online communities dedicated to Urban Art. I Support Street Art has more than 90,000 followers on its Facebook page since its creation in 2010. And success requires is now a website.

« It’s a platform for exchange of content (photos, videos). But we also produce artist interviews. » Explains Stéphane, one of the three leader of the site. Thirty artists were willing to answer questions, all identical for everyone to explain its course, references and art. Zabou, L7M, Jimmy C. Sabek, Blouh, Clet Abraham Btoy, OakOak, Stoul, Fred Knight, Madame Moustache, Mademoiselle Maurice …. have already answer the questions . For access to the greatest number, the interviews are published in English.

Street art is an international movement that has emerged over the Internet. As site managers are pictures of graffiti, stencils, collage, spray-painted walls … worldwide. « So, we spot new talent. «  Says Stephen.

Hunter street art

This quadra, who works in marketing, is a volunteer enthusiast who doesn’t count the hours for I SA. FB page and website were designed by Philippe who lives in Athens and works in the import export. « At first he was taking photos, share them and people began to send him. A community is born …  » He then seeks other » hunters street art « and Stephane said yes and Estela based in Spain. They are never seen but always communicate … Working in a contemporary art center, the young woman is their artistic referent.

In 5 years of existence, they have become an important player in the middle of the street art. Google has contacted them for Street Art Project a virtual exhibition which aims to perpetuate the net, street works by nature ephemeral. The European Community would also have access to their background. In fact, Europe has a project (10 million €) to give a history of urban art. « But before responding positively, we must create a legal entity, which is ongoing. » Says Stephane.

The site is also a tool for promotion of festivals, exhibitions or galleries open. But as indicated by the base line « the street is our gallery. » The street, just the street …

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